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Corps, ta logique échappe à tout calcul
Que tu sois d’une race ou d’une autre tu t’articules
Tu es sensible à des pulsations que tu conjugues
Même éloigné de ta muse qui te subjugue
Tu parles une langue que tous les corps maîtrisent
Pour se sentir réconforté et et à l’aise,si loin soit ta muse
Ta vie puise sa sève des corps d'autrui
Epouse,amante,Muse,Leila ou Jean Louis
Ta chair m'est chère et me nourrit
Sans elle ma vie n'est qu'ennuis
Ton corps joint au mien n'est qu'un
Surtout quand il pleut tu m'étreins
Femme qui incarné bonté et beauté
Tu nous es source de vie et de sensualité
On s'abreuve à satiété pour nous combler
En délices qu'auncun fruit ne saurait ressembler
Tu es telle une abeille qui survole mers et terres
Pour se poser et bitumer sur mon parterre
Je te vois je te sens et m'en réjouis
je revis et renais de ton éclat qui m'éblouit